J’ai essayé pour vous…Chut les enfants lisent Le Prince Tisserand

Le Prince Tisserand

J’ai essayé pour vous…Chut les enfants lisent Le Prince Tisserand

Vous trouverez cet album aux éditions Le Sorbier. Il a reçu le prix Saint-Exupéry en 2008. Il est recommandé à partir de 7 ans. P’tit bout l’avait reçu plus jeune. Il l’écoutait en histoire du soir mais en effet le conte est certainement difficile à suivre à cet âge. Aujourd’hui il l’écoute d’une autre oreille avec une bien meilleure compréhension.

Le conte

Nora Aceval est une conteuse de tradition orale. Elle nous transmets ce conte oriental digne des milles et une nuits. Un beau prince tombe éperdument amoureux d’une bergère au point d’en tomber malade. Ses parents finissent par concéder à ce mariage. Cependant la bergère conditionne le mariage.  « Ce que l’on sait faire de ses mains, c’est un trésor que l’on garde en soi toute sa vie. Dites au Prince que je l’épouserai lorsqu’il aura appris un vrai métier ». Ainsi le prince apprend le métier de Tisserand. Il devient maître dans cet art et épouse la bergère.

Le conte ne se termine pas là cependant. Il se trouve que le prince finit en esclavage entre les mains d’un vil marchand. Il a la vie sauve un se faisant passer pour un simple tisserand. La bergère le retrouve enfin grâce à un indice glissé dans un tapis tissé des mains de son prince. Le vil marchand est jeté au cachot. Ainsi tout est bien qui finit bien comme tout conte qui se respecte. Le prince louera la sagesse de son épouse.

Les illustrations

La maîtrise des miniatures persanes de Laureen Topalian illustre merveilleusement bien ce conte, faisant de l’album un ouvrage au caractère précieux.

Je me souviens d’une réflexion de P’tit bout très impressionné d’avoir « un livre ancien » entre les mains tant le rendu papier jauni de parchemin l’avait marqué.

 

 

 

Ceci est ma participation à Chut les enfants lisent, organisé par Devine qui vient bloguer ?

J’ai essayé pour vous…Georges numéro météo

Georges meteo

J’ai essayé pour vous…Georges numéro météo

Souvenez-vous, il y a deux mois je vous présentais le numéro sur la magie du magazine Georges.

Le nouveau numéro traite de la météo.

Les histoires

       

  • Une histoire illustrée de Icinori qui traite des nuages et de la danse de la pluie, suivie d’une interview décalée de Nori, l’interprète de la BD,
  • Une bande dessinée de Marie Mignot où les enfants sont les profs et les parents retournent à l’école,
  • Enfin, l’histoire vraie explique pourquoi parfois il pleut vraiment des petits animaux.

Les jeux, pleins de jeux

L’occasion de découvrir en s’amusant tout un vocabulaire autour de la météo via :

  • les instruments de mesures: thermomètre, baromètre, pluviomètre, anémomètre,
  • les différents types de climats et les pays où on les trouve,
  • des expressions de type être blanc comme neige, passer en coup de vent, etc,
  • un vrai ou faux sur le réchauffement climatique.

Mais aussi jouer à présenter le bulletin météo comme à la TV ou construire une adorable petite grenouille. (Georges vous la propose en téléchargement )

Mon préféré, observer la grande illustration toute colorée en double page de Jhonny Nunez..

La rubrique-à-brac

Celle où Georges aborde tout un tas de sujets improbables tel que :

  • le métier de réparateur de parapluies,
  • parler de la pluie et du beau temps en polonais,
  • comment faire apparaître un arc en ciel avec un miroir, de l’eau et une lampe torche,
  • construire un bonhomme de neige salé avec des œufs et un bonhomme de neige sucré avec de la noix de coco,
  • toujours quelques pages sur les nouveaux livres et les expo,
  • et enfin une interview de Aurélien Débat sur son travail.

En conclusion

Une fois de plus l’occasion de faire découvrir à P’tit bout tout un vocabulaire pour enrichir sa culture générale, ainsi que des illustrateurs talentueux. Après si on lui demande son avis, des deux numéros qu’il possède, sa préférence va pour celui sur la magie 😉

J’ai essayé pour vous…Chut les enfants lisent Tigre et léopard

Tigre et Leopard

J’ai essayé pour vous…Chut les enfants lisent Tigre et Léopard

Tigre et Léopard sont deux chenapans qui font connaissance dans la jungle et qui vont se mettre ensemble en quête de quelque chose à manger. « Si on trouve un animal à rayure, il est pour toi. Mais si c’est un animal à taches, je l’attrape. »

Cet album est proposé par les éditions Albin Michel Jeunesse. Ils ont eu la bonne idée de décider de faire découvrir quelques uns des plus beaux albums de Dahlov Ipcar, une peintre, illustratrice et auteure Américaine.

Les peintures, dans des tons verts, ocres, blancs  et bruns, mettent en avant une végétation luxuriante. L’occasion de nommer de nombreux animaux et insectes (scarabées, coccinelles, tamias, tortues etc). Mais surtout de différencier les rayures des taches. Car c’est bien là le jeu des deux héros. Trouver quelque chose à manger qui ai des taches ou des rayures. Vous pourrez ainsi ensuite vous amuser à inviter votre p’tit bout à trouver autour de lui des objets avec des taches et d’autres avec des rayures.

Tigre et Leopard     Tigre et Leopard

La musicalité du texte en fait une très belle histoire du soir accessible dès 4 ans. A lire plutôt un soir où vous n’êtes pas déjà trop en retard car il reste cependant assez long.

Tigre et Leopard

Ceci est ma participation à Chut les enfants lisent, organisé par Devine qui vient bloguer ?

J’ai essayé pour vous…Chut les enfants lisent le livre noir des couleurs

le livre noir des couleurs

J’ai essayé pour vous…Chut les enfants lisent le livre noir des couleurs

Semaine dernière si vous vous souvenez bien, je vous évoquais déjà ce livre des éditions Rue du monde. Je vous disais combien P’tit bout l’adore. Mais je vous disais également que le contexte au cours duquel il l’avait découvert y était pour beaucoup.

Le musée Fabre

La ville de Montpellier héberge le musée Fabre qui, depuis juin 2015, a rejoint la tribut des « musée joyeux ». Mais il n’avait pas attendu 2015 pour proposer aux familles des visites adaptées aux tout petits. Ainsi depuis ses 3 ans nous essayons d’aller au moins une fois par an avec P’tit bout participer à une de ces visites. Les thématiques changent à chaque vacances scolaires. Souvent le guide utilise un livre comme support de sa visite pour raconter une histoire.

Le musée Fabre de part sa proximité avec l’artiste Soulages, compte une collection impressionnante de ses œuvres. P’tit bout devait avoir 5 ans. J’étais très sceptique sur sa capacité à trouver du sens à ce qui, j’imaginais, ne serait pour lui que des aplats de noir. Un peu comme pour son père quoi  XD

Pourtant, par le biais d’une plume que la guide a remis à chaque enfant et du livre noir des couleurs, cette femme a réussit à captiver tout son petit groupe. Elle leur a faire prendre conscience que grâce au jeu d’ombre et de lumière sur la matière, il s’agissait de bien plus que seulement du noir. Quand elle leur a raconté que l’artiste n’utilisait pas des pinceaux mais des outils tenant plutôt de la fourchette ou du râteau, on ne les tenait plus.

Le livre noir des couleurs

Ce livre est écrit en braille. Et pour nous autres au sens tactile sous développé, le texte est imprimé en blanc sur ces pages toutes noires. Je m’excuse d’avance pour les photos, j’ai dû les surexposer à la lumière pour faire ressortir le relief. Comme les pages sont brillantes, je n’ai pas toujours réussit à obtenir ce que je voulais.

 

Au fil des pages, Thomas décrit chaque couleur sans la montrer. Exercice difficile n’est-il pas? Elle sera décrite au travers des autres sens et des émotions.

Tout d’abord il commence par le jaune qui a le gout de la moutarde mais qui est douce comme les plumes d’un poussin. On retrouve dès cette première page la plume qui a servit de liant à la guide du musée entre les tableaux et le livre.

Vient ensuite le rouge qui est acidulé comme la fraise, puissant comme la colère, et il fait mal lorsqu’il apparaît sur son genou écorché.

Et ainsi de suite chaque couleur est  illustrée en relief pour accompagner les explications. P’tit bout y passe longuement le bout des doigts pour retracer le dessin.

    

   

Ma préférée : « Pour Thomas la plus belle des couleurs, c’est le noir. Il trouve qu’il a la douceur rassurante de la soie quand sa mère l’embrasse et qu’elle l’enveloppe dans sa chevelure. »

Un livre qui invite à développer son toucher, et qui sensibilise avec beaucoup de poésie les enfants au handicap visuel.

 

Ceci est ma participation à Chut les enfants lisent, organisé par Devine qui vient bloguer ?

 

J’ai essayé pour vous…le bullet journal

Bullet Journal

J’ai essayé pour vous…le bullet journal

 

Mais tout d’abord très belle années à vous tous !!

Pour débuter cette année en beauté j’ai décidé de m’intéresser au concept du bullet journal. J’ai vu de ci de là de nombreux articles aborder ce sujet dans la blogosphère. Je trouvais cela très joli mais cela me paraissait en même temps très compliqué.

Et puis cela sonne un peu comme boulet journal, me donnant le sentiment que cela allait me faire perdre plus de temps que m’en faire gagner. Pour mémoire le concept est vendu initialement comme l’outil ultime de l’organisation parfaite.

Alors pourquoi j’ai craqué ?

C’est en faisant mes achats de Noël que je suis tombée sur « mon Bullet Journal Mémoniak 2018″.  Une charge mentale 2017 tellement saturée qu’il me faut un outil pour poser tout cela sur le papier. Un outil vendu par ceux qui l’ont adopté comme un compagnon idéal, compromis parfait entre l’agenda, le journal intime, le thérapeute et le répertoire. Une nouvelle année qui va très bientôt commencer. Douze euros. Pas la mer à boire non plus si jamais cela tombe à l’eau. Bingo, j’essaie.

A priori il suffit de n’importe quel cahier, d’un crayon et d’une gomme pour pouvoir construire un bullet journal. Mais comme je vous le disais, cela me paraissait très compliqué. La version de Mémoniak était rassurante dans le sens où les premières pages sont là pour vous expliquer le mode d’emploi de cet outil. Et c’est vraiment très bien fait.

Bien entendu j’ai complété la lecture des pages rédigées par Mémoniak par la lecture de quelques articles sur le Net pour réussir à me faire une idée précise du truc. En réalité, ce qui donne l’impression que c’est compliqué, c’est l’abondance de graphismes que l’on voit sur certains Bujo en ligne (sur instagram notamment). C’est super beau. Mais c’est en fait cela qui me paraissait inaccessible. Alors certes c’est très joli, mais ce n’est pas forcément l’essence même du bujo. Si vous ne savez pas dessiner et/ou que vous n’avez pas le temps de dessiner des fleurs, des mandalas et autres tatouages maori dans tous les espaces vides de votre bujo, ce n’est pas grave.

C’est partit, voici à quoi cela ressemble

J’ai attaqué mon bujo vendredi dernier avec l’objectif qu’il soit opérationnel pour le 1er janvier 2018. Je me suis équipée du cahier mémoniak, de feutres à pointes fine, d’une gomme, d’une règle, d’un portemine, de stabilos, d’une paire de ciseaux et d’un rouleau de masking tape.

Les premières pages du Bullet Journal sont celles de l’Index. Vous allez compléter cet Index au fil de l’année, pour pouvoir retrouver plus facilement vos notes dans ce cahier.

Le Bullet Journal va se composer de pages de type agenda et de pages de types listes ou collections.

Les pages de type agenda vont vous permettre de planifier dans le temps les différentes taches que vous avez à faire, et les pages de type listes / collection vous permettent de rassembler dans un même cahier les différents post-it, idées, notes diverses que vous avez peut être déjà l’habitude de recopier un peu partout. Mais si vous savez bien, le bout de papier que l’on ne retrouve jamais au moment où on en a besoin.

Les pages de type liste ou collections

Les pages de type collection vont se placer au petit bonheur la chance dans le cahier au moment où l’inspiration vous viendra. D’où tout l’intérêt de l’index pour retrouver ces pages en particulier. Voyez pour le moment mon Index n’est pas très étoffé, et c’est normal. Il fait référence aux deux listes que j’ai débuté. L’une pour garder sous la main la sélection des meilleurs livres 2017 de Babelio des fois que je n’aurai plus d’idées de lecture. L’autre pour noter dès à présent les idées de cadeaux pour maman car Février sera vite arrivé.

Comme vous pouvez le voir je n’y ai mis aucun ornement pour le moment.

    

 

Les pages de type agenda

Elles prennent du temps à construire, même sans les ornements. Prenez le temps de regarder ce qui se fait pour trouver la présentation qui correspond le plus à l’usage que vous allez avoir de votre bullet journal. Si c’est un agenda mixte pro/perso vous n’aurez forcément pas les mêmes besoins que si c’est un usage unique. Pour ma part c’est un usage uniquement perso. Ma vie pro ne se déroule pas du tout dans un milieu créatif, ça ne collerait pas.

Voici quelques exemples proposés par Mémoniak à suivre sur Instagram pour vous inspirer

Roberta Ranieri @qualcosadierre

Maren Janka @pureplanning_bymj

Trine Lykke @logthatlife

Nicole @nicoles.journal

 

Vous allez choisir (ou pas – rien n’est obligé, c’est tout comme vous voulez) un vue de calendrier annuel, une vue de calendrier mensuel et une vue de calendrier hebdomadaire.

Vous allez la recopier ou l’inventer de toute pièce dans votre cahier.

Calendrier Annuel

Pour le calendrier annuel, j’ai préféré une version qui me permet de créer avec du masking tape des onglets pour pouvoir naviguer plus facilement de mois en mois.

    

Sur la page de gauche, pour rester optimiste toute l’année, j’ai recopié un mantra vu sur le blog de Zunzun. Sur la page de droite j’ai donc mes 6 premiers mois de l’année avec les événements les plus marquants : les principales fêtes et jours fériés, les anniversaires des très proches (papa, maman, p’tit bout et mon homme), nos 10 ans de mariage, le mariage de ma cousine. Au dos de cette même page, les 6 autres mois de l’année. Sur la tranche le masking tape et vous pouvez voir les onglets de Janvier et Février qui dépassent déjà car son prêt à l’emploi.

Calendrier mensuel

Prévoyez une jolie page de garde quand même si vous pouvez en chaque début de mois. Cela peut être très minimaliste, le mois encadré par exemple. Ou un collage si vous ne savez pas dessiner. Par exemple j’ai recopié le dessin d’une carte à gratter que m’avait offerte P’tit bout et que j’ai toujours sous les yeux quand je suis devant mon Pc.

 

Je n’ai pas besoin de quelque chose de très compliqué, je suis donc restée sur un format basique qui me permette en un seul regard de voir les rdv importants du mois et les taches incontournables à réaliser (dans la mesure du possible). Bref la To do list du mois, et en bas les quelques événements repérés qui auront lieu dans le mois auxquels si possible m’intéresser.

C’est à ce niveau qu’il devient important d’intégrer les clefs d’un bullet journal, c’est à dire le code de symboles communément admis pour désigner un type d’action à réaliser.

Ainsi pour l’action « recharger la carte de cantine de P’tit bout », je place devant un carré car il s’agit d’une tâche à faire. Je place même devant le carré une étoile * car c’est assez urgent. Si je ne m’en occupe pas avant la reprise de l’école il va se retrouver dans l’impossibilité de badger son repas (et cela fera tache avouons). Et j’écris le tout avec le feutre Orange car c’est la couleur que j’ai associé à tout ce qui concernera P’tit bout. Quand j’aurai réalisé l’action je noircirai la case. Si jamais de tout le mois de janvier je ne trouve pas le temps de réaliser l’action (on va espérer que ce ne sera pas le cas n’est ce pas), j’y noterai une flèche entrant dans le carré pour signifier que je reprogramme l’action pour le mois suivant.

Calendrier hebdomadaire

L’objectif ici est d’avoir une vue d’ensemble de sa semaine. Pour le moment j’ai recopié à l’identique pour le mois de Janvier la même présentation. Certains s’amusent à avoir un visuel différent à chaque semaine. Je ne pense pas que j’aurai le temps. Je veux quelque chose de joli mais qui reste fonctionnel. En bossant de 8h30 du matin à 18h du soir, en m’occupant de p’tit bout jusqu’à 20h30 et en publiant des articles aussi régulièrement que possible sur le présent blog, je ne vois pas trop quand est ce que j’aurai le temps. Si déjà j’arrive à ajouter quelques joli dessin de temps en temps en les griffonnant depuis le canapé pendant que p’tit bout joue à la switch ce sera super. D’ailleurs c’est bien parce que je suis en vacances que j’ai pu envisager de démarrer ce projet ^^

Voici ce que j’ai retenu :

  

Ce que je n’ai pas encore exploré

Ce que les pro du Bujo appellent les trackers. Pour le moment je n’en ai pas ressentit le besoin. Il s’agit de glisser soit sur des pages indépendantes façon listes, soit en les intégrant dans les pages agenda, des éléments récurrents à suivre: courbe de poids, consommation d’eau, assiduité à la salle de gym, etc.

Les avantages du Mémoniak

Comme je vous le disais plus haut, les pages explicatives sont très bien faites de mon humble avis. Pour démarrer son premier Bujo il me parait pas mal.

Le papier est fin mais résiste bien malgré tout aux feutres à pointe fine. Le dessin d’un recto n’imbibe pas le verso. Il est pointillé très discrètement tous les 0.5 cm. Ce qui est très pratique pour tracer des rectangles réguliers. Vous avez trois rubans intégrés à la reliure qui vous permettrons de retrouver par exemple rapidement l’index, la semaine en cours, et votre liste/collection du moment.

Les pages ne sont numérotées que jusqu’à la fin des pages d’index soit la pages 35. Ce qui vous laisse libre de reprendre une numérotation qui commence à 1, ou de poursuivre celle du cahier. Ce qui vous arrange.

Il y a une petite poche sur la dernière page de garde où vous pourrez glisser des bons de réduction, une photo, etc.

Comme tout bon outil mémoniak vous avez des planches de stickers que je n’ai pas utilisé pour le moment.

En conclusion

Parce que l’air de rien il a été beaucoup plus long que prévu ce billet.

Un bullet journal cela prend du temps à mettre en place. Néanmoins cela a été une étape très intéressante. Je me suis beaucoup amusée. J’espère que j’arriverai à tenir sur la durée. Je ne saurai pas trop vous dire pour le moment si ce sera beaucoup plus pratique qu’un agenda et des post-it. En tout cas cela m’a donné envie de me remettre au dessin et ce sera ma foi l’occasion de pouvoir griffonner de temps en temps.

Mémoniak propose les 10 commandements suivants à respecter en matière de Bujo, et comme résolutions 2018 cela me parait plutôt bien

1/ La perfection tu oublieras

2/ La procrastination tu abandonneras

3/ La gratitude tu sèmeras

4/ Ta vie tu embelliras

5/ Chaque jour tu t’amuseras

6/ La créativité tu cultiveras

7/ L’harmonie tu maintiendras

8/ De ta santé tu te préoccuperas

9/ La bienveillance tu partageras

10/ Avec aisance tu t’organiseras

 

Est ce que vous même vous tenez peut être déjà un bujo?  Qu’en pensez vous ?