J’ai essayé pour vous…Artemis Fowl

Artemis Fowl

Artemis Fowl est le dernier film paru de la très malmenée line up 2020 des studios Disney. Initialement prévu pour une sortie en salle à l’été 2019, la sortie de ce film avait été repoussée pour Mai 2020. Pour les raisons sanitaires que nous connaissons, c’est finalement directement sur la plateforme Disney+ que ce film est sorti ce 12 Juin 2020.

L’histoire de Artemis Fowl

Notre monde cohabite dans le plus grand secret avec celui des créatures fantastiques du bestiaire irlandais : farfadets, fées, nains fouisseurs, trolls …

La famille Fowl semble être au fait de ce secret. Depuis des générations ils veillent en mettant à l’abri des regards ce qui doit l’être. Le grand public, qui ne connait pas le revers de la médaille, les assimile à des génies du crime qui volent des œuvres historiques.

Notre jeune héros de 12 ans, bien que surdoué, n’accompagne pas encore son père en mission. Or celui-ci est capturé par une créature maléfique qui demande à Artémis une rançon bien particulière : un artefact appartenant au peuple des fées, caché quelque part dans le manoir.

Afin de secourir son père, Artémis élabore un plan lui permettant de faire intervenir les compétences surnaturelles nécessaires pour retrouver cet objet.

A partir de quel age ?

En regardant ce film il faut avoir à l’esprit qu’il s’adresse, en gros, à des enfants ayant entre 9 et 15 ans.

En dessous de 9 ans ils ne comprendront pas grand chose au scénario. La mise en place d’un narrateur facilite pendant une bonne moitié du film la compréhension de cet univers très riche. Il commente les événements et en profite pour apporter des explications. Toutefois en tant qu’adulte j’ai trouvé que cela du coup ralentissait l’immersion dans l’action, mais je peux comprendre que sans cela les enfants seraient perdus. Et c’est quand même un divertissement qui leur est destiné.

Quel verdict ?

Je vous ai dis que Collin Farrell joue dans le film? Il ne tient pas le rôle, principal vous l’aurez compris, mais quand même XD.

Les deux rôles principaux sont tenus par Ferdia Shaw (dont c’est le premier film) et Lara McDonnell.

Des acteurs irlandais pour au moins ces trois rôles donc comme le souhaitait l’auteur de la saga. Je n’ai pas vérifié les rôles secondaires.

Notez que, à la maison, nous ne connaissons pas les romans de Eoin Colfer. De ce que nous avons lu le film serait l’adaptation des 2 premiers tomes. Nous ne pouvons donc pas vous dire si ça colle ou pas du tout. Je pense que je vais essayer de faire lire au moins le premier à P’tit bout cet été 🙂

La sortie sur plateforme Disney+ c’était une bon idée. Je pense que j’aurai été plus exigeante si j’étais allée le voir en salle. Contrairement à la série Harry Potter qui a su captiver aussi bien petits que grands, ce film ne tend pas assez la perche aux adultes.

Il a beaucoup plus à P’tit bout (9 ans et demi).

Si une suite sors nous la regarderons avec plaisir. Le film se suffit à lui même. Une petite ouverture à la fin laisse la porte ouverte à un second film si celui-ci trouve son public.

Est ce que vous connaissez la saga dont ce film est l’adaptation? Qu’en pensez vous?

J’ai essayé pour vous: Sky : les enfants de la lumière

sky : les enfants de la lumière

Absente toute la semaine du blog pour une bonne raison. J’étais plongée dans Sky: les enfants de la lumière (Sky : children of the light en VO).

Ce jeu a initialement été développé pour IPhone. Il a d’ailleurs été élu meilleur jeu 2019 par Apple. Depuis peu, il est disponible sous Android, cependant tous les appareils ne semblent pas compatibles. Et très bientôt il sera disponible sous Switch! Cerise sur le gâteau: il est GRATUIT.

L’histoire

Vous jouez un petit être trop mignon dont la mission est de voyager de monde en monde, en courant, sautant et volant, pour rallumer les étoiles. Ce voyage onirique est juste magnifique.

Et il l’est encore plus lorsque vous voyagez main dans la main avec des compagnons. Car outre le voyage, Sky est aussi là pour créer des liens entre joueurs. Et si moi qui suis associable y arrive, c’est que c’est vraiment bien fait et vous donne envie d’interagir avec les autres. Maintenant je vole avec une amie chinoise, c’est un peu compliqué pour se caler niveau horaire mais c’est génial ^^.

Le monde de Sky est en constante évolution ce qui fait que même lorsque vous aurez exploré une première fois les 7 mondes, vous aurez envie de les parcourir encore et encore. Et à chaque voyage vous découvrirez de nouveaux lieux qui vous avez échappés.

Chaque jours, des quêtes quotidiennes viennent apporter une intention au voyage, si le seul plaisir de voler ne vous suffisait pas.

Gameplay

Vous vous doutez bien que pour un jeu mobile il a fallu simplifier le gameplay au maximum. A priori vous pouvez paramétrer pour jouer à une ou deux mains sur votre écran tactile. En paramétrage standard : du pouce gauche vous contrôlez la direction dans laquelle vous vous déplacez et du pouce droit votre vol.

Ensuite, un menu vous permet d’accéder aux différentes expressions que va pouvoir adopter votre personnage. C’est grâce à celles-ci que vous interagissez avec les autres joueurs. Elles sont également nécessaires pour débloquer certains passages cachés. Vous gagnez de nouvelles expressions au fur et à mesure que vous progressez dans le jeu.

En progressant vous aurez également accès à un système de chat avec vos amis, plus pratique au bout d’un moment pour communiquer.

Avis sur Sky : les enfants de la lumière

Ce que j’ai bien aimé

  • L’ambiance du jeu vraiment très plaisante,
  • Les graphismes magnifiques,
  • Une bande son très agréable,
  • Un gameplay extrêmement simple et pourtant tellement prenant,
  • Une communauté de joueurs extrêmement riche,
  • le fait qu’il soit gratuit (des quêtes optionnelles saisonnières sont payantes mais on peut largement s’en passer)
  • Un personnage qui devient entièrement personnalisable au fur et à mesure que vous avancez dans le jeu.

Ce que je n’ai pas aimé

  • Attendez je cherche…ah si les Krills (monstre volant qui va chercher à vous dévorer les ailes) des mondes 6 et 7 me font peur XD Mais bon si un autre joueur me tient la main au moment de les traverser, j’arrive à gérer.

Bref vous l’aurez compris, je suis complètement accro à Sky : les enfants de la lumière ^^ Si vous voulez que l’on voyage ensemble, n’hésitez pas à me demander ou m’envoyer un QRcode. Ce sera avec plaisir 🙂

J’ai essayé pour vous…le film d’animation En avant

En avant

En avant est le dernier film d’animation en images de synthèse des studios Pixar / Disney à être paru en salle. Il est resté à l’affiche quelque chose comme moins de 2 semaines avant que les cinémas ne soient fermés. Du coup je n’ai pas sorti l’article qui perdait tout son sens hormis celui de vous faire râler.

Alors pourquoi vous en parler maintenant? Car dès aujourd’hui En avant est disponible en format digital sur les principales plateformes habituelles. Au même prix que le format dvd qui lui ne sortira que le 26 Juin 2020. Certes cela peut paraître un peu élevé, mais ma foi si vous y étiez allé avec toute votre tribut au cinéma, vous ne vous en seriez pas sorti pour moins cher. Donc bon, cela reste un compromis si vous en avez assez d’attendre ^^

L’histoire de En avant

Nous sommes dans une transposition contemporaine d’un monde de fantasy qui a lui aussi technologiquement évolué au point de perdre l’usage de la magie. Ainsi le centaure ne sait plus courir vite et préfère prendre sa voiture. Les fées ne savent pas que leurs ancêtres savaient voler. La Manticore ne donne plus de quêtes aux aventuriers et est devenu gérante d’un restaurant familial où on peut faire du karaoké.

Nous allons suivre plus particulièrement deux frères elfes : Barley, l’aîné, et Ian. Assez rapidement on comprend que leur père est décédé d’une maladie alors que la maman était enceinte de Ian. Barley était lui même assez jeune. Ian est un adolescent mal dans sa peau qui a des difficultés à sociabiliser. Barley à l’inverse est complètement irréfléchi et spontané.

Nous débutons l’histoire le jour des 16 ans de Ian. Il était convenu entre les parents qu’à cette date la maman remettrait aux deux frères un présent de leur père. Ce présent va les entraîner dans une quête initiatique digne d’une aventure de donjon et dragon avec énigmes, danger, courses poursuites, cube gélatineux et autre Dé à 20 faces.

Barley, fervent rôliste est le fer de lance qui permet d’impulser cette quête. Mais il ne peut rien faire sans Ian qui semble avoir malgré lui des prédispositions à la magie. Ian qui prend avec beaucoup de réserve les idées un peu trop farfelues à son gout de Barley.

A partir de quel âge ?

Tout au long de l’histoire on alterne entre rires et moments tristes (car sinon ce ne serait pas un Disney dixit P’tit bout).

De très belles valeurs sur la famille sont véhiculées. Ainsi que sur la confiance et l’estime de soi que nos proches nous aident à acquérir et qu’il nous faut leur apporter en retour.

En parallèle de l’histoire, il y a également un message sur la nécessité de ne pas oublier notre Histoire et nos origines. Ce dernier point est assez flagrant avec le personnage de la manticore qui a une foudroyante prise de conscience de ce qu’elle est devenue et qui ne se reconnait plus.

Cependant il y a de nombreuses scènes douloureuse sur la disparition du père, le ressenti différent des garçons à ce sujet, les disputes que cela engendre entre eux tout au long de l’histoire.

Ils ont également un chrono assez restreint pour finir leur quête dans les temps et échouer n’est pas envisageable. Cela induit un rythme soutenu de l’action et un sentiment d’urgence.

Pour tout cela, un enfant de moins de 8 ans pourrait se sentir un peu déboussolé et ne retenir que les idées négatives et non pas les belles choses qu’elles apportent à comprendre en finalité.

Mon humble avis

L’animation est fluide, sans défaut, mais sans cachet particulier non plus.

J’ai beaucoup aimé la façon dont la relation entre les deux frères évolue au cours de leur périple.

Grande fan de Donjon et dragon, forcément les références au jeu m’ont fait plaisir. Amusant comme la série Stranger Things l’a rendu plus populaire et recommandable.

J’ai moins aimé la quête parallèle de la maman et de la Manticore dont les scènes me paraissent moins travaillées. Parfois juste là pour créer du burlesque lorsque juste avant les deux frangins nous ont émotionnellement malmené.

Ce n’est pas le plus grand film d’animation des studios Pixar / Disney confondus, mais cela reste un beau moment.

J’ai essayé pour vous…Close to the sun

Close to the sun

Close to the sun est un jeux vidéo horrifique à la première personne développé par le studio Storm in a teacup. Il est paru en Mai 2019 et est disponible sur quasiment tous les supports : PC, Xbox, Playstation, Switch.

Et comme je commence à tourner un peu en rond chez moi, je l’ai fini d’une traite ce weekend. En même temps, il n’est pas bien long.

Histoire et Gameplay

Nous sommes dans une dystopie steampunk où Nicolas Tesla aurait réuni sur l’Hélios, un navire gigantesque, toute l’élite scientifique pour changer le monde. Et comme toujours quand vous réunissez trop de scientifiques un peu trop investis au même endroit, ça finit par réaliser l’expérience de trop: en l’occurrence ils ont joué avec le temps.

Vous incarnez Rose, journaliste de son état. Votre petite sœur Ada, directrice de recherche sur l’Hélios, vous a demandé de l’y rejoindre. A votre arrivée, vous avez la désagréable surprise de réaliser que le navire est en quarantaine.

Et plus vous avancez à la recherche de votre sœur, plus vous vous rendez compte qu’il n’y a plus grand monde de vivant sur ce fichu bateau.

L’horreur commence mollo puisque dans les premiers chapitres, hormis un type qui semble vous espionner, mais sans plus, vous allez essentiellement chercher votre chemin. Les scènes sont assez gores donc petites âmes sensibles s’abstenir.

Puis les courses poursuites vont commencer et là vous allez regretter que le jeu soit à la première personne. Cela secoue dans tous les sens alors même que le personnage n’a pas l’air d’avancer bien vite. Vous expérimenterez plusieurs morts : brûlé, électrocuté, poignardé, lacéré jusqu’à trouver le seul et unique chemin sûr.

Le gameplay va donc essentiellement consister à appuyer sur les touches avancer/courir et de temps en temps cliquer pour activer quelque chose. Généralement l’ouverture d’une porte. Vous allez alterner entre les moments tranquilles de recherche d’une clef ou d’un code et les moments où vous allez fuir un agresseur sans trop savoir où vous allez.

Au cours de votre progression vous pourrez consulter différents documents: notes, mémos, journaux, plans, qui vont contribuer à enrichir l’univers.

Avis sur Close to the sun

Ce que j’ai bien aimé

  • Les décors sont magnifiques,
  • L’ambiance créé est intéressante et on se surprend à sursauter pour des conneries (bon je sursaute très facilement aussi, il faut l’avouer),
  • Beaucoup de matière narrative est fournie pour bidouiller une belle intrigue,
  • Le doublage est en français et de qualité. Rose communique par radio avec quelques personnages, et la personnalité de chacun d’eux est plutôt bien marquée.

Ce que je n’ai pas aimé

  • Que le jeu soit à la première personne. M’a fichu mal au crane.
  • Que toute cette matière narrative n’ai pas été suffisamment exploitée. Au final beaucoup de choses sont amenées mais très peu sont expliquées. Si quelqu’un peu m’expliquer d’où Ludwig connait le prénom de Rose ce serait top XD.

Le jeu est somme toute assez court, je dirais 6 heures grosso modo. Accessoirement j’ai eu plusieurs crashs graphiques et ai du paramétrer les options au minimum. Donc attention, si votre machine date comme la mienne.

Même s’il est graphiquement excellent, je trouve dommage que le scénario ne soit pas allé jusqu’au bout et n’apporte aucune réponse, juste des pistes de réflexions et hypothèses. C’est trop facile de laisser le joueur s’imaginer ce qui a dut se passer et ce qui va se passer ensuite pour ne pas se planter et garder un univers cohérent lorsqu’on touche au Temps.

Si vous avez envie de frissonner un peu (mais pas trop non plus, sinon je n’aurai jamais pu aller jusqu’au bout) vous y trouverez votre compte. Si vous avez envie d’un vrai scénario d’aventure qui joue avec le Temps, lancez vous plutôt sur Quantum Break.

J’ai essayé pour vous…Le jeu Sherlock Holmes : Crimes & Punishments

Sherlock Holmes

Je suis dans ma période jeux vidéos plus que lecture en ce moment, cela m’arrive par période. Disons que quitte à être devant un écran, je préfère être devant un jeu plutôt que la version numérique d’un livre. Vivement la réouverture de ma médiathèque ^^.

Du coup, en attendant, j’ai essayé ce jeu qui commence à dater, puisqu’il a vu le jour en 2014. Il est distribué sur PC via les plateformes de Epic Games et Steam mais également dispo sur les consoles Playstation et XBox.

Cet épisode développé par le studio Frogwares est loin d’être leur premier essai dans l’univers du prestigieux détective. Ils ont sorti quasiment un nouvel opus tous les 1 à deux ans depuis 2002. Leur restructuration récente a ralenti la cadence ces deux dernières années mais ils semblent avoir un public qui compte toujours sur eux.

Histoire et Gameplay

Vous incarnez Sherlock Holmes et en vous disant cela j’ai pratiquement tout dit non? Vous vous doutez bien que vous n’allez pas planter des navets XD

Le Dr Watson et bien entendu de la partie et ensemble vous allez être amenés à résoudre 6 enquêtes criminelles indépendantes. En toile de fond, votre frère Mycroft essaiera de vous motiver sans succès à l’aider dans sa propre enquête.

Le Gameplay est du pointé/cliqué classique où les éléments du décors avec lesquels vous pouvez interagir se cerclent de bleu lorsque vous arrivez à proximité. De même vous allez interroger des témoins et des suspects. Et ainsi de fil en aiguilles vous allez récolter des indices et des preuves qui vous permettront d’élaborer des hypothèses et enfin des conclusions.

Par ailleurs, au cours des enquêtes, différentes manipulations sous la forme de mini jeux viendront agrémenter votre partie : crochetage de serrures, reconstitution de scènes de crimes, chien guide, recherches documentaires, expériences scientifiques, etc. De quoi éviter de rendre le système redondant d’une enquête à l’autre.

Pour chaque enquête, une fois que vous aurez désigné un coupable vous aurez le choix entre le condamner à la peine qu’il mérite sans état d’âme ou vous montrer compréhensif.

Ces diverses cas de figures vous donnent ainsi accès à plusieurs cinématiques pour la conclusion de chacune des 6 enquêtes. Une fois votre choix fait et la cinématique vue, vous avez la possibilité de vérifier si vous aviez bien réuni tous les indices et trouvé le bon coupable ou non. A défaut, vous pourrez décider de revenir en arrière pour faire un nouveau choix de conclusion et ainsi voir s’il vous satisfait davantage.

Une fois une enquête close, vous avez accès à la suivante, mais à tout moment vous pouvez décider de recommencer une des enquêtes passées.

Avis sur Sherlock Holmes : Crimes & Punishments

Je n’ai joué à aucun autre des jeux de cette série, je ne peux donc pas vous dire s’il est le plus ou le moins bien réussi. Dans l’ensemble je l’ai trouvé plutôt plaisant. Comme toujours, si vous n’aimez pas le genre des jeux d’enquête, forcément que vous n’y trouverez pas votre compte.

Nous ne sommes pas dans un système narratif avec des conséquences en fonction de vos choix comme cela était le cas dans The Coucil par exemple. L’idée ici est vraiment de résoudre une enquête. Ainsi par exemple les phases d’interrogatoire ne peuvent pas être ratées. Même si vous n’avez pas glissé le bon argument au bon moment pour faire lâcher l’information à votre suspect, vous pourrez lui reposer la même question à l’infini jusqu’à faire le bon choix. C’est limite frustrant même, cette impossibilité de planter l’enquête en passant à coté d’une information essentielle.

Ce que j’ai bien aimé :

  • Même s’il commence à dater un peu il reste graphiquement intéressant,
  • Les scénarios sont bien recherchés,
  • Bien qu’il reste somme toute fermé, le système d’élaboration synaptique pour en arriver aux conclusions de l’enquête est intéressant.
  • Le personnage de Sherlock Holmes, son phrasé, ses attitudes, son excentricité, sont extrêmement bien retranscrits. Je ne l’imaginais pas autrement.

Ce que j’ai moins aimé :

  • Les temps de chargement plutôt longs entre les différents lieux de l’enquête. Et comme de nombreux aller et retour sont nécessaires, cela casse le rythme.
  • Les objectifs de certains mini jeux me sont restés obscurs. Aucun moyen de comprendre ce que l’on attendait de moi. Mais cela ne vous bloque pas puisque tous les mini jeux peuvent être réussis avec succès sur un simple Click.

Ce que j’aurai aimé :

  • Un peu plus de challenge. Dans l’ensemble les enquêtes sont assez faciles si vous n’en êtes pas à votre premier jeu de ce genre. Mais aura au moins le mérite de vous distraire environ 2 à 3 heures par enquête.

Si vous n’avez jamais essayé ce genre de jeu et que cela vous tente, il me parait très indiqué pour débuter. De même si vous appréciez particulièrement le personnage de Sherlock Holmes. Vous allez vous régaler.